La fin du monde est un vaste sujet. Loin de moi l’idée de jouer les Greta Thunberg, notre chute n’est pas à nier. Pas besoin de balancer des chiffres menant à une déprime certaine afin de le comprendre. Parmi les fléaux terriens, citons les feux de forêts, les tsunamis et les trous dans la couche d’ozone. Sans compter les nombreux ouragans qui s’abattront sur nos territoires. Le réchauffement climatique réserve bel et bien des catastrophes. A quoi s’ajoutent des foules capitalistes qui consomment trop et trop vite.
Les confinements imposés par diverses nations freinent-ils les dangers environnementaux ?
La course à la mondialisation semble bien plus difficile à arrêter. Dernièrement, le navire coincé au canal de Suez le prouve sans nul doute. D’ailleurs, les humains ont une sacrée envie de survivre dans leur petit confort. Comme si nous devenions les putes des GAFAM.
Le confinement, c’est la grande victoire du monde virtuel. Il fait beau dehors, il n’y a pas d’avion, les oiseaux s’en donnent à cœur joie, le potager attend, et je reste cloîtré comme un con dans l’électronique, à tapoter sur un clavier. -Pablo Servigne (Wilfried n°12)
L’auteur oublie un point important : on peut s’en sortir à l’aide de la musique !
Découvrons trois tueries spatiales qui donneront envie de danser avant l’Apocalypse.