Il faut souffrir pour être belle. Une expression à laquelle on pense fortement lorsqu’on passe ses vacances d’été dans le Sud de l’Italie. C’est comme si Greta Thunberg se cachait derrière nos têtes pour nous rappeler qu’il n’y a pas que les banquises qui croulent… Puis, arrive ce jour où l’on m’annonce que je pars assister au Jova Beach Party de Jovanotti, à Rocella Ionica (Calabre). Je pensais avoir fumé la moquette. Pourtant, ça n’avait rien d’irréel. J’allais voir l’artiste italien le plus inspirant et inspiré de ces dernières années !
Jovanotti, ou Lorenzo Cherubini de son vrai nom, est un faiseur de miracle. Tout au long de sa carrière, il n’a cessé de toucher à tout: rap, rock, hip hop, électro, jazz. C’est peu dire d’admettre que ses créations font partie du patrimoine culturel méditerranéen.
L’enthousiasme pour les nouveautés fait partie de notre système opératif aussi bien que la peur du neuf. Entre ces deux fonctions, nous nous dirigeons vers le futur. -Jovanotti