La playlist dure à cuire #2

Melvins – Pinkus Abortion Technician

Melvins, à l’instar des Foo Fighters ou des Queen of the Stone Age, font partie des géants du rock actuel! Désormais signés sur le label de Mike Patton, Ipecac, nos musiciens n’ont rien perdu de leur jeu direct et déchaîné.
On a également droit à un morceau beaucoup plus lent (« Don’t Forget To Breathe »), où l’auditeur plonge vers des sonorités à la fois proche d’une musique asiatique et d’un air stoner malsain. Moins expérimental que l’opus précédent (A Walk With Love And Death, 2017), ce petit format s’écoute sans aucun regret. Chaque année Melvins surprend. A chaque album, ils se réinventent sans jamais perdre leur incroyable style.

SUMAC – What One Becomes

Parfois très peu de mots suffisent pour exprimer une rage musicale. SUMAC illustre le parfait exemple de groupe où l’instrumental l’emporte sur les paroles. Car si on affaire à une voix grave des Enfers (rendant les écoutes encore plus agressives), on ne peut passer à côte d’un batteur endiablé et d’un guitariste possédé.
Le fil rouge de What One Becomes (2016): supporter une déflagration sonore pour mieux se défouler!

Virgin Prozac – Plethora

Do you smell the sulfur too? Cette question chantée dans « Distrubing Feeelings » par les Belges de Virgin Prozac, résume leur univers torturé.
Aux paroles occultes et d’un stoner rock très prononcé, ces Namurois enflammeront les scènes grâce à un EP efficace, homogène et à écouter d’une traite!

DRAMA

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