Dagashi Kashi & Bungo Stray Dogs


Pour contraster avec les autres mangas que j’analyse d’habitude, voici un « simple » animé type comédie/tranche de vie : Dagashi Kashi.
Des thèmes liés à mes autres articles mais avec juste un sujet et des gags qui sont quand même un peut plus prenant.

Wiki répond à mon appel !!! Blague à part, je vais probablement arrêter parce que ça va être vite redondant au bout de la 5ème fois.
Dagashi kashi est une adaptation d’un manga qui a commencé en 2014 et est toujours en cours avec 5 tomes (même vitesse d’écriture que moi). L’animé, lui, a commencé en janvier et s’est terminé en mars avec 12 épisodes.

Dans ce « tranche de vie », on va suivre Kokonotsu Shikada qui travaille avec son père dans une confiserie située dans un village paumé. Un jour, pendant qu’il travaillait, une fille du nom de Hotaru Shidare déboule et vient lui demander de rejoindre l’entreprise de confiserie de sa famille qui vend à l’échelle internationale. Kokonotsu refuse et elle décide de rester dans le village jusqu’à ce qu’il accepte (légèrement du harcèlement). Donc maintenant que ça c’est fait, je vais parler d’un léger détail qui m’a vraiment perturber et c’est… Bordel! C’est quoi le problème avec Hotaru, on dirait une héroïne de hentaï avec ses yeux et son comportement ultra provoquant !!! Mis à part ça, l’idée de mettre en avant différents bonbons du Japon n’est pas mauvaise. Par contre, quand elle commence à sucé un bonbon en regardant le héros droit dans les yeux, c’est chaud… Je sais que c’est du fan service, mais quand même…

Vraiment pas un animé prise de tête du coup (c’est juste moi qui veut faire mon intéressant) et c’est vachement cool pour se relaxer entre deux épisodes d’un animé un peut trop sérieux ou trop sanglant.

C’est vraiment un truc qui m’a permis de tenir le rythme avec des animés plus compliqués, demandant un niveau de concentration plus élevé. Pour ce qui est du reste, le côté posé et l’ambiance en général sont vraiment plaisantes, même si on pourra lui reprocher son manque d’originalité par rapport à d’autres œuvres comme Psycho-Pass ou même JoJo, qui ont des sujets bien plus sérieux. Même les blagues ont réussie à me faire rire (chose assez rare pour être soulignée).
Pour le reste on revient sur le thème des bonbons qui fait qu’il ne tombe pas dans le simple tranche de vie avec une bonasse qui débarque du jour au lendemain.

Si t’es crevé et que t’a rien d’autre à faire, je ne peux que te conseiller cet anime.

Pour Bungo Stray Dogs, il faut que je pose le fait que je n’ai pas encore regarder la deuxième saison, qui s’attarde d’ailleurs sur la back story de certains personnages plutôt que sur la suite de ce que j’ai compris. Du coup, la chronique risque d’être un peut plus courte mais verra peut-être une autre partie arrivée quand j’aurais fini la saison 2.

La diffusion a commencé depuis avril 2016 mais est adaptée d’un manga sorti en 2012, et d’un light novel en 2014.

Donc pour ce que j’en ai vu, pour le moment, l’histoire qui nous est racontée tourne autour de personnes possédant des pouvoirs (plutôt original je dois dire) et contrôlant différents secteurs d’activité, allant de la mafia à une agence prénommée « l’agence des détectives armés ». Dans la première saison nous suivront d’ailleurs les enquêtes de cette agence qui finit par se heurter à la mafia la plus influente du coin. Bon même si l’animé n’a pas l’air intéressant, il faut souligner que ce qui est le plus intéressant, c’est l’écriture et les personnages.
On peut vraiment ressentir l’amour de la littérature, que ce soit dans les noms des personnages, ainsi que dans les différents pouvoirs que possèdent les protagonistes.

Voilà, plus ou moins pour l’histoire que j’ai vu jusqu’à maintenant mais je sais qu’il y a encore plus à venir !!!
Une bonne surprise se révèle à moi parce que je ne connaissais pas du tout et que l’univers mafieux, littéraire et le côté capacité surnaturel rendent vraiment le tout assez original.
Je ne peut donc que vous conseiller la première partie et pour ce qui est de la deuxième je ne tarderait pas à la regarder.

Dokma

Laisser un commentaire