Alors là mes amis, un bon gros Jojo en bonne et due forme comme on les aime avec du muscle, des poses, du ora ora ora ora ora à revendre et une petite intrigue pas piqué des hannetons. Le thème de l’ancienne saison étant le road trip entre potes, celui-ci verra son action concentrée dans une seule et même ville, ce qui permet un changement de ton plutôt agréable sachant que la saison d’avant était particulièrement longue.
Bon, c’est le moment de claquer Wikipédia… Diamond is unbreakable à d’abord été publiée en manga de 18 tomes à partir de 1992 et a été adapté en manga par David Production le 1er avril 2016. Cette saison s’est terminée le 23 décembre de la même année avec 39 épisodes au conteur.
Maintenant que tu t’es bouffé un copié/collé honteux de Wiki, tu veux peut-être avoir un résumé, hein ? D’abord, calme toi… C’est fait ? Je vais pouvoir commencer. Nous suivons l’histoire d’un membre non officiel de la famille né des aventures du héros de la 2ème saison. Ainsi débute déjà un gros bordel scénaristique, mais je t’épargne le fait qu’ils s’appellent tous JoJo (même si c’est juste l’abréviation de leurs noms). Josuke Higashikata est celui qui nous intéresse. Il est lycéen dans la ville de Morioh et possesseur de « stand », un genre de matérialisation de l’esprit combatif avec un pouvoir de guérison en prime. Il sera rejoint par deux autres générations de JoJo pour l’aider à venir à bout d’un étrange ennemi qui « crée » des porteurs de stand dans toute la ville. Comme c’est écrit précédemment, l’action se déroulant à Morioh, l’esprit de cette saison sera plus centré sur des enquêtes et mystères, de l’inhabituel par rapport à ce qu’on aura pu voir avant.
Tout comme énoncé dans l’intro, c’est vraiment ce genre de pose et d’atmosphère qui fait de JoJo une série qui a vraiment une place particulière pour moi.
Rien que le côté ultra théâtrale des personnages me plait énormément. Quand un personnage se mettra à se battre, la plupart du temps, quelqu’un d’autre l’observera et décrira les moindres actions et gestes durant le combat. Ce qui mène à des situations du type : « Ho MON DIEU! Il vient d’esquiver son crochet du droit mais il n’avait pas vu qu’il était trop près du mur et voilà qu’il se cogne la tête!!! » alors qu’on est train de le voir nous-même… C’est ce genre de chose que j’adore chez JoJo et qui fait que vous devriez vraiment regarder cette saga.
Dokma