Une explication à ce titre est nécessaire pour le comprendre entièrement.
Des artistes se copient inconsciemment ou volontairement pour parfois créer leurs œuvres. Je n’écrirai pas au sujet du « plagiat », au contraire, j’aime utiliser plutôt le terme « hérédité ». De fait, depuis l’arrivé de Flume, c’est-à-dire en 2011, une panoplie d’artistes puise énormément de sa technique. Car il faut savoir qu’il a eu un véritable impact sur le monde de l’électro, non pas parce qu’il est juste un jeune musicien et producteur d’Australie, mais aussi parce qu’il a une signature sonore qui lui est propre. En d’autres mots, il a complètement réussi à façonner une nouvelle approche musicale. Les nombreuses particularités qui font toute sa « magie » apparaissent désormais chez d’autres DJs juvéniles.
Le son de James Blake m’évoque beaucoup de choses abstraites. En effet, il m’est arrivé de me représenter ce chanteur comme l’incarnation du personnage du Voyageur contemplant une mer de nuages(1818), peint par Caspar David Friedrich, sortant du tableau pour nous chanter, immergé dans le brouillard, un air mélancolique sans jamais s’arrêter sur son chemin.
NME lui donne un 9/10 et Rolling Stone Magazine 3,5/5 étoiles!*
Les deux maigrichons de Sheffield ont enregistré cette merveille dans cette même ville, au McCall Sound Studios. C’est à croire que cette ville d’Angleterre n’engendre que de supra bons artistes (tels que les Arctic Monkeys, Bring Me The Horizon, Pulp, Bruce Dickinson des Iron Maiden et j’en passe). Continuer la lecture →
Le petit frère de Win Butler (chanteur d’Arcade Fire) a vendu du rêve en grosse barre en se lançant dans une carrière solo.
Ce percussionniste, pianiste, guitariste, bassiste et chanteur a fait un fabuleux album rock mêlant chœurs, saxophone et gratte électrique.
C’est un garage rock épique que cet acharné de la scène rock nous délivre, avec des chansons entraînantes, comme la très belle « Witness ».
Cet album traverse également des tempos plus lents avec des ballades telles que « Finish What I Started » (qui rappelle John Lennon), ou encore « Son of God », ballade qui mériterait d’ailleurs d’être chantée avant chaque diner, le soir, à table, et en famille! Continuer la lecture →
Il faut bien s’écarter des sentiers de la musique que l’on consomme à longueur de journées (que ce soit à la radio, tv ou autres), de temps en temps.
Ces jumeaux, l’un à la basse et l’autre à la batterie, arrivent à assimiler l’électro vulgaire (qui collerait pour une pub dédiée au tuning) et un rock de dandy dada. Puzzle et Enjoy, à ne pas négliger également, sont les projets solos des deux frères. En effet, si vous adhérez totalement à l’univers polyvalent de The Garden, ces deux projets vont vous plaire à foison, assurément.
Pour résumer, The Garden fait partie de ces groupes qui s’écartent à la perfection de ces « sentiers » dont je parlais plus haut.